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Agriculture, un marché résilient

L’agriculture a globalement moins souffert que d’autres secteurs durant le confinement, sur un terrain que la Banque Populaire connaît bien.

Selon les économistes de BPCE, l’augmentation de la consommation alimentaire, le recentrage sur les produits de base et le recours aux circuits courts ont agi favorablement sur l’activité agricole, avec des disparités selon les métiers. A l’inverse, la réduction des achats "festifs", la dépendance aux marchés internationaux et les difficultés d’approvisionnement ont pesé de façon plutôt négativement.

Pour les Banques Populaires et leurs 101 000 relations bancaires agricoles, au-delà des aides débloquées en urgence, cette tendance à la résilience conforte pleinement la stratégie mise en place dès 2018 par le groupe et réaffirmée avec la crise sanitaire. Celle-ci repose sur trois piliers : le commerce agricole, notamment le e-commerce et les circuits courts ; l’agri-acting©, une démarche proactive de valorisation de l’Agriculture et des agriculteurs pour développer l’activité des exploitants et l’éco-responsabilité, via le passage au bio entre autres.

Ecoutez ci-dessous le témoignage de Mélanie Vilboux, directrice du marché Agriculture, Viticulture, et Croissance bleue de la Banque Populaire Grand Ouest. 

Chiffres-clés* :
+10 %

Hausse de la consommation des secteurs agriculture et agroalimentaire pendant le confinement, selon l’INSEE, seuls secteurs en hausse.
-10 %
Perte d’activité estimée du secteur de l’agriculture pendant le confinement, selon l’INSEE, un des rares secteurs qui a continué à produire.
22 % 
Part des exploitations françaises clientes Banque Populaire (2019)

*Source : Etudes économiques BPCE

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