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Photo illustrant l'athlètisme

Mondiaux d’athlétisme : la tête haute !

Nos athlètes ont gardé la tête haute dans le contexte extrêmement concurrentiel des championnats du monde d’athlétisme à Budapest. Wilhem Belocian, soutenu par la Caisse d’Epargne CEPAC et Jimmy Gressier, soutenu par la Caisse d’Epargne Hauts de France, tiennent leur rang avec de belles performances.

Pas moins de 46 pays médaillés 

Bien sûr, les résultats de l’équipe de France d’athlétisme n’ont pas été à la hauteur des attentes, notamment à un an de la grande échéance olympique parisienne. Mais l’athlétisme est une discipline à part. Avec le football, c’est peut-être l’unique sport complètement mondialisé. Il y avait aux Championnats du monde à Budapest plus de 100 nations représentées et issues de tous les coins du monde. Un athlète français doit donc faire face à une forte recherche de congruence, comme certainement aucun autre de ses collègues des autres disciplines.  

Des Îles Vierges en passant par le Botswana jusqu’au Pakistan… sans évoquer l’Ethiopie, les Philippines… pas moins de 46 pays de tous les continents ont été médaillés, ce qui est énorme. C’est plus de deux fois que des Championnats du monde de judo par exemple (22 pays médaillés) ou trois fois plus qu’en escrime (15). Dans ce contexte si concurrentiel, obtenir une place de finaliste constitue déjà un remarquable résultat. Cela signifie que l’on se situe parmi les huit meilleurs de sa discipline sur toute la surface du globe. Ce sont des places qui valent parfois des médailles… notamment dans les courses de fond qui constituent l’activité humaine la plus universelle.  

Stage dans la Rift Valley  

C’est le cas de Wilhem Belocian, soutenu par la Caisse d’Epargne CEPAC, qui est parvenu à rentrer en finale du 110 m haies des Championnats du monde. Il était déçu de sa course en 13 s 32 mais est reparti de Budapest boosté pour la saison prochaine.  

Même chose pour Jimmy Gressier, soutenu par la Caisse d’Epargne Hauts de France. Sa 9e place sur 5 000 m constitue également une vraie performance. Sur cette distance, il doit faire face à tous les coureurs de la Rift Valley où, on le sait, l’athlétisme est un véritable vecteur d’ascension sociale incitant énormément de coureurs à s’entrainer férocement pour accéder au sommet mondial. Jimmy Gressier va d’ailleurs régulièrement en stage là-bas pour se confronter aux meilleurs durant sa préparation. Tout montre qu’il va continuer à progresser comme il le fait chaque année.  

Il y a également ceux qui ont joué de malchance. Ainsi, Hilary Kpatcha, soutenue par la Banque populaire Occitane, a dû abandonner lors des qualifications du saut en longueur en raison d’une blessure aux ischio-jambiers. Malgré la douleur, elle qui visait une place de finaliste a tout tenté mais, à un an des Jeux de Paris 2024, ne pouvait prendre le risque de se blesser davantage. Benjamin Robert, soutenu par la Banque populaire Occitane, n’a quant à lui pas pu défendre non plus pleinement ses chances. Blessé au mollet depuis deux semaines et déjà handicapé par une déchirure à l’ischio jambier il y a un mois, le vice-champion d’Europe en salle n’a pu faire mieux que 6e de sa demi-finale. C’est dommage car il avait montré en série qu’il avait les armes pour faire beaucoup mieux. Il avait ainsi remporté sa course avec autorité. Ce sont ainsi des athlètes qui, débarrassés de ces problèmes physiques, peuvent vraiment nourrir de belles ambitions pour l’année prochaine. 

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