Climat : vers une trajectoire visant la neutralité carbone d’ici à 2050

Mardi 21 septembre 2021

Le Groupe BPCE mène d’importants travaux d’évaluation de ses portefeuilles afin de piloter leur alignement sur une trajectoire de température en ligne avec l’Accord de Paris.

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Data motion sur le Green Evaluation Models

Lors de la Semaine européenne du Développement durable qui se tient jusqu’au 8 octobre, le Groupe BPCE revient sur ses ambitions et ses actions en matière de climat. La lutte contre le dérèglement climatique est au cœur du nouveau plan stratégique « BPCE 2024 » du Groupe BPCE. C’est ainsi qu’il a signé, il y a près de 2 ans, les Principes pour une Banque Responsable (PRB) et a rejoint récemment, en juillet 2021, la Net Zero Banking Alliance une initiative internationale visant la neutralité carbone d’ici à 2050. Pour respecter ses engagements, tous ses métiers et toutes ses entreprises sont mobilisés, l’objectif étant d’aligner progressivement ses portefeuilles de financement sur une trajectoire de température en ligne avec l’Accord de Paris : 1,5°C d’ici à 2050, (avec deux échelons intermédiaires pour les portefeuilles de sa Banque de Grande Clientèle : 2,5°C en 2024 et 2,2 °C en 2030). 

Pour y parvenir, le Groupe construit des méthodologies d’évaluation, dites Green Evaluation Models et sera en capacité de mesurer et de piloter l’alignement de ses portefeuilles en accompagnant au mieux ses clients dans leurs propres enjeux de transition énergétique (rendez-vous la semaine prochaine pour plus d’informations). Les outils développés sont spécifiques à la nature des portefeuilles évalués : ainsi, le Green Weighting Factor permet d’analyser et de noter l’impact climatique des actifs, clients ou projets financés par la Banque de Grande Clientèle. 

De même, le Groupe BPCE s’engage à aligner le fonds général de Natixis Assurances sur une trajectoire de température limitée à 1,5° C dès 2030 (et à 2 °C d’ici à 2024) et mène d’importants travaux pour analyser l’impact climatique de ses portefeuilles d’investissement et extraire pour chacune des entreprises en portefeuille, l’empreinte carbone, la trajectoire de température, le risque physique et l’exposition au risque de transition. 

Ecouter le Podcast d’Olivier Trecco 

Les politiques nationales et internationales seront-elles suffisantes pour répondre à l’urgence climatique qu’a de nouveau rappelé le GIEC (le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) en août dernier lors de la sortie de son dernier rapport sur le climat ? L’analyse de Philippe Waechter, chef économiste chez Ostrum Asset Management. 

Ecouter le Podcast de Philippe Waechter