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Jeudi 6 mai 2021
[Avril 2021] Avec la montée de la crise économique et sociale, le resserrement de l’offre de crédit et l’attentisme persistant des ménages, les marchés immobiliers résidentiels pourraient progressivement se trouver « sur la corde raide ».
Après une belle résistance l’an dernier dans un contexte de crise exogène à l’immobilier, le secteur de l’ancien fléchit légèrement, début 2021. Même s’il bénéficie toujours de taux d’intérêt attractifs sur le crédit à l’habitat, les conditions de fonctionnement du marché semblent évoluer. Empêtré dans des difficultés de production, le secteur du neuf est désormais au pied du mur, du fait de la crise qui retarde sa capacité à reconstituer son offre dans un marché pourtant demandeur tant du côté des ménages que des investisseurs institutionnels, de nouveau intéressés par les actifs résidentiels.
La maison individuelle, qui incarne le rêve de nombreux Français, est un produit recherché par les ménages en quête d’habitat plus spacieux et d’environnement qualitatif mais la demande se heurte à des difficultés dans l’ancien (aspects qualitatifs, confort, prix, localisation), mais aussi dans le neuf (difficultés d’approvisionnement en matières premières et matériaux de construction…).
La récession économique et ses répercussions sociales pourraient accentuer les fragilités du marché locatif liées à des déséquilibres structurels, malgré le regain d’intérêt des investisseurs institutionnels pour le logement.
Pour en savoir plus sur cette étude réalisée par les économistes du Groupe BPCE, cliquez ci-dessous :
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Conjecture logement – avril 2021 DOCUMENT PDF |
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