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Mercredi 30 novembre 2022
Dimitri Jozwicki, soutenu par Natixis Investment Managers, est sprinteur avec déjà un beau palmarès. Ergothérapeute de formation, il a les Jeux Paralympiques de Paris 2024 et une médaille en ligne de mire. Il nous raconte en vidéo.
Dimitri découvre à 13 ans qu’il souffre d’une malformation d’Arnold Chiari et d’une infirmité motrice cérébrale. Et c’est, à ce moment-là, le triple exploit (trois médailles d’or) du sprinteur Christophe Lemaitre en 2010 aux championnats d’Europe d’athlétisme qui lui fait découvrir, avec son frère jumeau, cette discipline.
Il rejoint l’univers paralympique en 2016 et se bâtit un joli palmarès : finaliste mondial sur 100m dans la catégorie T38 en 2019 à Dubaï et en 2021, vice-champion d’Europe sur 100m T38 et 4e aux Jeux Paralympiques de Tokyo.
Dans sa vie « civile », Dimitri est ergothérapeute de formation. Il est également très engagé en milieu scolaire sur la sensibilisation au handicap : « J’essaie justement de transmettre aux enfants qui ne sont pas en situation de handicap, cette notion de soutien, d’aller vers l’autre. Les encourager à s’intéresser à ce pourquoi ça ne va pas, plutôt que de se moquer. » explique-t-il en rappelant que ce sont ces jeunes qui, demain, construiront une société capable d’accueillir les personnes en situation de handicap et de les inclure.
Pour se lancer dans l’aventure des Jeux Paralympiques et afin de concilier vie professionnelle et vie sportive, Dimitri est titulaire d’une convention d’insertion professionnelle (CIP) lui permettant de libérer du temps de travail pour se concentrer sur son objectif : être médaillé. Et pour lui, le soutien de Natixis Investment Managers est déterminant : « Quand on est dans la dernière répétition, dans la dernière série d’un entraînement, quand ça devient compliqué, ça aide énormément de se sentir soutenu par des gens, des salariés, des entreprises. C’est ce qui m’aide vraiment à aller au bout des choses et à me donner à 100 % ».
Dimitri se définit lui-même comme un grand optimiste qui aime croire en ses rêves. « Je ne suis pas juste athlète, je suis Dimitri. C’est Dimitri qui court, ce n’est pas un robot programmé pour courir. C’est important pour moi de le faire et d’être en accord avec mes valeurs. » On pourrait ajouter, y croire toujours et ne jamais lâcher !