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Mardi 30 mars 2021
2019 a été une année de records pour l’immobilier en termes de transactions dans l’ancien, de croissance annuelle de l’encours de crédits à l’habitat, de volume de nouveaux crédits, d’investissements locatifs et de taux d’intérêt au plus bas. Si 2020 n’obtient pas la médaille d’or dans toutes ces disciplines, elle restera néanmoins comme l’année d’une performance surprise dans un contexte atypique qui laissait craindre le pire.
Avec une croissance annuelle de l’encours de 5,5% et une production à 274 milliards d’euros en progression sur un an de 3 %, les crédits à l’habitat ont connu une année 2020 dynamique, à l’image du marché immobilier résidentiel, dont le nombre de transactions dans l’ancien reste au-dessus du million (Lire aussi L’immobilier résidentiel n’a pas totalement pris la mesure de la crise économique). Et cela malgré la crise.
Les montants de nouveaux crédits hors renégociations, équivalents en 2020 à ceux de l’année passée, se maintiennent eux aussi à un niveau record, à 209 milliards d’euros. Marquée toutefois par une volatilité sans précédent avec un deuxième trimestre en fort retrait puis un second semestre en rebond vigoureux, 2020 restera donc comme l’année d’une performance surprise dans un contexte atypique qui laissait craindre le pire.
Pour en savoir beaucoup plus sur cette étude réalisée par les économistes du Groupe BPCE qui fait le bilan de l’année 2020 du crédit à l’habitat et évoque les perspectives 2021 du secteur, cliquez ci-dessous.
Pour en savoir plus |
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Le crédit à l’habitat : Bilan 2020 et Perspectives 2021 DOCUMENT PDF |
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