Une immense fierté pour le surf français soutenu par Banque Populaire ! En effet, les deux premières médailles Olympiques françaises en surf de l’histoire ont été gagnées à Tahiti avec, en or, le Tahitien Kauli Vaast, soutenu individuellement par la Caisse d’Epargne Ile-de-France et, en bronze, la Réunionnaise Johanne Defay.

Une immense joie pour le surf français

Jacques Lajuncomme, heureux président de la Fédération Française de Surf dont Banque Populaire est partenaire depuis 2019, a déclaré se sentir « sur une autre planète… et Kauli et Johanne resteront à jamais les premiers médaillés olympiques du surf français. En Polynésie, le surf est au-delà du sport, c’est son lieu originel et particulièrement à Tahiti. Le « Mana », l’esprit du lieu, était là pour Kauli qui a bénéficié des deux plus belles vagues de la série… »

LA vague

Il ne fallait pas aller dormir pour assister à ce spectacle inouï, la victoire de Kauli Vaast, soutenu par la Caisse d’Epargne Ile-de-France, sur la vague mythique de Teahupo’o à Tahiti. C’est la médaille la plus éloignée du centre névralgique des Jeux Olympiques, avec ses douze heures de décalage horaire. Et pourtant Kauli Vaast est bien médaillé d’or des Jeux Olympiques de Paris 2024, et les images renvoyées par la compétition de surf resteront à jamais parmi les plus belles.

L’idée d’organiser la compétition là-bas était remarquable et ce choix marquera à jamais la destinée de Kauli. Car paradoxalement, si la compétition de surf se déroulait très loin de la Vasque Olympique qui trône là-haut, illuminée le soir dans le ciel de Paris à l’heure où Kauli Vaast surfait cette vague de légende, il est assurément le médaillé français qui a été consacré le plus près de chez lui. En effet, Kauli Vaast est né et a grandi dans le nord de l’île de Tahiti puis face à la fameuse vague de Teahupo’o, après que ses parents décident de s’y installer. La maison familiale se situe ainsi à quelques kilomètres du site olympique. De fait, Kauli a goûté au surf depuis son plus jeune âge, sur le longboard de ses parents qui l’installaient sur la planche avec des bouées. Et très vite, il va vivre pour cette vague qui constituait son horizon. Il connaîtra la moindre écume de cette sublime houle.

Si loin si proche

Sa connaissance des lieux a été décisive dans la conquête de son titre olympique. Lors de la finale, il a aussitôt exploité une belle vague qui se levait, réalisant un long tube, ce moment où il disparaît dans le rouleau duquel il ressortira tout au bout. Une longueur et un temps passé dans le tube qui allait lui donner une avance définitive. Car jamais plus dans le temps imparti de la finale, il n’y aura une telle vague. Sa science des lieux avait parlé. Kauli, ce qui signifie « celui qui va nager » en polynésien, devenait ainsi champion olympique là-même où il s’est construit avec ce sport, où il est devenu ce qu’il est, dans cet environnement majestueux auquel il sera à jamais associé. Lui-même à qui, au petit matin ou au coucher du soleil, viendrait l’envie de prendre sa planche et d’aller ainsi surfer juste pour le plaisir cette vague qui lui a tant donné, et dans laquelle il a aussi connu des frayeurs majeures, pourra donc se laisser aller aux souvenirs de ce qu’il qualifie de « meilleur jour de sa vie ».

Une nuit inoubliable scrutée depuis la Métropole et un très grand jour pour la France d’outre-mer, où deux jeunes surfeurs du bout du monde ont inscrit pour la première fois leurs noms tout en haut du palmarès olympique.

Pour en savoir plus sur le soutien sur Banque Populaire et le surf :

Pour connaître les athlètes, les para athlètes et les équipes soutenus par les entreprises du Groupe BPCE qui sont présents à Paris 2024 :

Pour lire cette vidéo YouTube, vous devez accepter les cookies de la catégorie Réseaux Sociaux dont YouTube fait partie en cliquant ici.

Photo de Kauli Vaast sur la vague de Tehupo'o / Picture of Kauli Vaast on the Teahupo’o Wave

Une grande première pour le surf français

Découvrez les mots de Kauli Vaast, soutenu par la Caisse d’Epargne Ile-de-France, après avoir gagné la médaille d’or et de Johanne Defay, soutenue par Banque Populaire via la Fédération Française de Surf, qui a remporté le bronze.